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Forum - Alsace (Philatélie locale) - La guerre de 1870 en Alsace et ses conséquences


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le 22/03/2021 # 20:10
par Webmaster

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1870_1871.jpg

Beau fichier PPSX que j'ai transformé en Flip pour le mettre sur le site, qui explique un peu cette guerre. Malheureusement ce n'est qu'en français.

Nette PPSX-Datei, die ich in einen Flip umgewandelt habe, um sie auf der Webseite einzustellen, die ein wenig diesen Krieg erklärt. Leider ist es nur auf Französisch.

Nice PPSX file that I transformed into a Flip to put on the site, which explains a bit about this war. Unfortunately it is only in French.

<<< La guerre de 1870 en Alsace et ses conséquences >>>

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Réponse n° 1
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le 27/03/2021 # 15:10
par Webmaster

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Voici quelques explications concernant cette guerre aussi pourrie que les autres d'après un lien RETRONEWS.

Hier sind einige Erklärungen zu diesem Krieg, der genauso verdorben ist wie die anderen, aus einem RETRONEWS-Link.

Here are some explanations about this war as rotten as the others from a RETRONEWS link.

<<< La guerre franco-allemande de 1870-71 >>>

v_1870-1871.jpg

La Guerre « de 1870 » entre la Prusse et les troupes impériales de Napoléon III fut très courte. Commencée le 19 juillet 1870 et terminée le 28 janvier 1871 à la suite de la capitulation française, elle reste dans la mémoire nationale pour ses nombreuses et lourdes conséquences.
La déroute inattendue des bataillons français aboutira en effet sur la capitulation de l’Empereur à Sedan, laquelle sera immédiatement suivie par la proclamation de la République, puis par le long et douloureux siège de la capitale. Deux mois plus tard, l’instabilité provoquée par le conflit et l’irritation due au siège se mueront en un épisode politique de première importance, la Commune de Paris. Enfin, le souvenir de la défaite et l’annexion de l’Alsace-Moselle à l’Allemagne produiront sur le moyen terme un esprit de revanche vis-à-vis du pays vainqueur – d’ailleurs largement alimenté par la presse – dont on constatera les effets nocifs lors des deux conflits mondiaux du XXe siècle, en 1914 puis en 1939.
RetroNews revient ici sur les façons dont la presse française a pu relater la « débâcle » et sur comment elle a su faire ressurgir le souvenir de celle-ci en temps de paix, pendant les premières années de la Troisième République.

Pendant la Guerre de 1870, un bataillon parisien entièrement féminin, les Amazones de la Seine, se mobilise pour venir en aide à une armée française en déroute. Cet engagement se retrouve démoli par une grande majorité de la presse française, unanimement misogyne.

Alors que l’état-major français refuse de s’épancher sur les défaites essuyées contre l’armée prussienne, la presse française est contrainte de s’appuyer sur les dépêches allemandes via la presse étrangère pour rédiger ses articles. Ce qui en sort est souvent déconcertant.

« L’armée est vaincue et captive, moi-même suis prisonnier ».
C’est par ce télégramme que l’impératrice Eugénie apprend que son époux, Napoléon III, est fait prisonnier à Sedan avec une grande partie de l’armée impériale le 2 septembre 1870. Cette défaite majeure entraîne la chute du Second Empire.

Alors que Paris est sur le point d'être assiégé par les armées prussiennes après la débâcle de Napoléon III à Sedan, nul ne veut croire à l'imminence de l'état de siège.

Dans une capitale plus que jamais isolée, les ballons montés sont le seul moyen de rejoindre la province. Ainsi le ministre de l'intérieur, Léon Gambetta, quitte Paris le 7 octobre 1870 pour un voyage périlleux.

Alors que Paris est assiégé le 18 septembre 1870, la vie quotidienne des Parisiens se met en place, entre rationnement drastique et rigueurs d'un hiver exceptionnel.

Cela semble paradoxal, mais la douce image de la cigogne « psychopompe » est intimement liée aux guerres franco-allemandes. Avant de devenir une référence courante, c’est une cigogne seulement alsacienne qui porte les nourrissons… et parfois même, des soldats.

Suite à la défaite de 1870 et à la proclamation de la République, le souverain déchu s'exile à Chislehurst, en Angleterre. Tenu pour responsable de l'échec de Sedan, il espère pourtant un retour au pouvoir. Mais la maladie l'emportera le 9 janvier 1873. 

À la stupeur de la défaite de la guerre de 1870 s'ajoute l'humiliation de l'annexion de l'Alsace-Lorraine (alors « Alsace-Moselle ») par le nouvel Empire allemand. Vite, le mythe de la revanche attise le nationalisme en France, et sème les germes de la « haine de l'Allemand ». 

Bien qu’elle n’ait duré que 9 semaines, la Commune de Paris est un moment fort de l’histoire du mouvement ouvrier et socialiste français. Prônant une démocratie sociale, la Commune de Paris est considérée comme une menace par les autorités de la IIIe République naissante. 

Avec la défaite de Sedan puis la capitulation, l’antigermanisme et le revanchisme vont prendre de l'ampleur au sein de l'opinion française. « La volonté d’en découdre ne disparaîtra jamais réellement », nous dit François Cochet.

Comment les Français ont-ils traversé la Guerre de 1870 ? L'historien Jean-François Lecaillon a exhumé des milliers de témoignages écrits qui la racontent telle que l'ont vécue jeunes conscrits, militaires de carrière et simples citoyens.

Pendant la guerre franco-prussienne, à Loigny, un corps d’armée français monarchiste et ultra-catholique se fait remarquer sur le champ de bataille. À sa tête, Athanase de Charette, petit-fils du célèbre général vendéen.

  


Der "Krieg von 1870" zwischen Preußen und den kaiserlichen Truppen von Napoleon III. war sehr kurz. Er begann am 19. Juli 1870 und endete am 28. Januar 1871 nach der französischen Kapitulation und bleibt wegen seiner zahlreichen und schweren Folgen im nationalen Gedächtnis.
Die unerwartete Niederwerfung der französischen Bataillone führte zur Kapitulation des Kaisers in Sedan, der sofort die Ausrufung der Republik und die lange und schmerzhafte Belagerung der Hauptstadt folgten. Zwei Monate später wird sich die durch den Konflikt verursachte Instabilität und die Irritation durch die Belagerung in eine politische Episode von größter Bedeutung verwandeln, in die Pariser Kommune. Schließlich wird die Erinnerung an die Niederlage und den Anschluss von Elsass-Mosel an Deutschland mittelfristig einen - zudem weitgehend von der Presse genährten - Rachegeist gegenüber dem Siegerland erzeugen, dessen schädliche Auswirkungen sich in den beiden Weltkonflikten des 20. Jahrhunderts, 1914 und dann 1939, zeigen werden.
RetroNews blickt zurück auf die Art und Weise, wie die französische Presse über das "Debakel" berichtet hat und wie es ihr gelungen ist, die Erinnerung daran in Friedenszeiten, in den ersten Jahren der Dritten Republik, wieder aufleben zu lassen.

Während des Krieges von 1870 mobilisierte ein rein weibliches Pariser Bataillon, die Amazonen von der Seine, um einer geschlagenen französischen Armee zu Hilfe zu kommen. Dieses Engagement wurde von einer großen Mehrheit der französischen Presse, die einhellig frauenfeindlich war, niedergemacht.

Während der französische Generalstab sich weigerte, über die erlittenen Niederlagen gegen die preußische Armee zu sprechen, war die französische Presse gezwungen, sich bei ihren Artikeln auf deutsche Depeschen aus dem Ausland zu verlassen. Was dabei herauskommt, ist oft beunruhigend.

"Die Armee ist besiegt und gefangen, ich selbst bin ein Gefangener".
Durch dieses Telegramm erfuhr Kaiserin Eugenie, dass ihr Mann, Napoleon III., am 2. September 1870 mit einem großen Teil der kaiserlichen Armee bei Sedan gefangen genommen worden war. Diese große Niederlage führte zum Untergang des Zweiten Kaiserreichs.

Während Paris nach dem Debakel von Napoleon III. bei Sedan kurz vor der Belagerung durch die preußischen Armeen stand, wollte niemand glauben, dass ein Belagerungszustand unmittelbar bevorstand.

In einer Hauptstadt, die mehr denn je isoliert war, waren Ballons die einzige Möglichkeit, die Provinzen zu erreichen. So verließ der Innenminister Léon Gambetta am 7. Oktober 1870 Paris zu einer gefahrvollen Reise.

Während Paris am 18. September 1870 belagert wurde, richtete sich das tägliche Leben der Pariser zwischen drastischen Rationierungen und den Unbilden eines außergewöhnlichen Winters ein.

Es scheint paradox, aber das sanfte Bild des "Psychopomp"-Storchs ist eng mit den deutsch-französischen Kriegen verbunden. Bevor er zu einer allgemeinen Referenz wurde, war es nur ein elsässischer Storch, der Säuglinge trug... und manchmal sogar Soldaten.

Nach der Niederlage von 1870 und der Ausrufung der Republik ging der abgesetzte Herrscher ins Exil nach Chislehurst, England. Für das Scheitern von Sedan verantwortlich gemacht, hoffte er dennoch auf eine Rückkehr an die Macht. Aber Krankheit nahm ihn am 9. Januar 1873. 

Zu dem Schock der Niederlage im Krieg von 1870 kam die Demütigung der Annexion von Elsass-Lothringen (damals "Elsass-Mosel") durch das neue Deutsche Reich hinzu. Der Mythos der Rache schürte schnell den Nationalismus in Frankreich und säte die Saat des "Hasses auf den Deutschen". 

Obwohl sie nur 9 Wochen dauerte, ist die Pariser Kommune ein Höhepunkt in der Geschichte der französischen Arbeiter- und sozialistischen Bewegung. Die Pariser Kommune, die für eine soziale Demokratie eintrat, wurde von den Behörden der entstehenden Dritten Republik als Bedrohung angesehen. 

Mit der Niederlage bei Sedan und der anschließenden Kapitulation sollten Antigermanismus und Revanchismus in der französischen Meinung an Boden gewinnen. "Der Wille zum Kampf wird nie wirklich verschwinden", sagt François Cochet.

Wie haben die Franzosen den Krieg von 1870 überstanden? Der Historiker Jean-François Lecaillon hat Tausende von schriftlichen Zeugnissen ausgegraben, die die Geschichte des Krieges aus der Sicht von jungen Wehrpflichtigen, Berufssoldaten und einfachen Bürgern erzählen.

Während des französisch-preußischen Krieges stach bei Loigny ein monarchistisches und ultrakatholisches französisches Armeekorps auf dem Schlachtfeld hervor. An ihrer Spitze stand Athanase de Charette, der Enkel des berühmten Generals der Vendéens.

  


The "War of 1870" between Prussia and the imperial troops of Napoleon III was very short. It started on July 19th, 1870 and ended on January 28th, 1871 following the French capitulation. It remains in the national memory for its numerous and heavy consequences.
The unexpected rout of the French battalions led to the surrender of the Emperor in Sedan, which was immediately followed by the proclamation of the Republic and the long and painful siege of the capital. Two months later, the instability caused by the conflict and the irritation due to the siege will turn into a political episode of primary importance, the Commune of Paris. Finally, the memory of the defeat and the annexation of Alsace-Moselle to Germany will produce in the medium term a spirit of revenge towards the victorious country - largely fed by the press - whose harmful effects will be seen during the two world conflicts of the 20th century, in 1914 and 1939.
RetroNews looks back at the ways in which the French press was able to relate the "debacle" and how it was able to bring back the memory of it in peacetime, during the first years of the Third Republic.

During the War of 1870, an all-female Parisian battalion, the Amazons of the Seine, mobilized to come to the aid of a routed French army. This commitment was demolished by a large majority of the French press, unanimously misogynistic.

While the French general staff refused to talk about the defeats suffered against the Prussian army, the French press was forced to rely on German dispatches from the foreign press to write its articles. What came out of it was often disconcerting.

"The army is defeated and captive, I myself am a prisoner".
It was through this telegram that Empress Eugenie learned that her husband, Napoleon III, was taken prisoner at Sedan with a large part of the imperial army on September 2nd, 1870. This major defeat led to the fall of the Second Empire.

While Paris was on the verge of being besieged by the Prussian armies after Napoleon III's debacle at Sedan, no one wanted to believe that a state of siege was imminent.

In a capital more than ever isolated, the balloons were the only way to reach the provinces. Thus the Minister of the Interior, Léon Gambetta, left Paris on October 7, 1870 for a perilous journey.

While Paris was under siege on September 18th, 1870, the daily life of the Parisians was set up, between drastic rationing and the rigors of an exceptional winter.

It seems paradoxical, but the sweet image of the "psychopomp" stork is intimately linked to the Franco-German wars. Before becoming a common reference, it was only an Alsatian stork that carried infants... and sometimes even soldiers.

Following the defeat of 1870 and the proclamation of the Republic, the deposed sovereign went into exile in Chislehurst, England. Held responsible for the failure of Sedan, he nevertheless hoped to return to power. But illness took him on January 9th, 1873. 

To the shock of the defeat of the 1870 war was added the humiliation of the annexation of Alsace-Lorraine (then "Alsace-Moselle") by the new German Empire. The myth of revenge quickly fanned the flames of nationalism in France, and sowed the seeds of "hatred of the German". 

Although it lasted only 9 weeks, the Paris Commune is a high point in the history of the French labor and socialist movement. Advocating a social democracy, the Paris Commune was considered a threat by the authorities of the nascent Third Republic. 

With the defeat of Sedan and the capitulation, anti-Germanism and revanchism grew in French public opinion. "The will to fight will never really disappear," says François Cochet.

How did the French get through the War of 1870? The historian Jean-François Lecaillon has unearthed thousands of written testimonies that tell the story of the war as it was experienced by young conscripts, career soldiers and ordinary citizens.

During the Franco-Prussian war, at Loigny, a monarchist and ultra-Catholic French army corps made itself known on the battlefield. At its head, Athanase de Charette, grandson of the famous Vendéen general.

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Réponse n° 3
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le 27/03/2021 # 17:43
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livre_spal_guerre_1870.jpg

Un peu de publicité pour la SPAL dont je suis membre, suite à la demande de Sébastien, notre membre et rédacteur de cette association. Que ne ferais-je par pour toi cher Seb, et pour la SPAL bien sûr! J'espère que j'ai bien rempli mon rôle, sinon, tirez-mois les oreilles. Même pas mal!

  

Eine kleine Werbung für die SPAL, deren Mitglied ich bin, auf Wunsch von Sébastien, unserem Mitglied und Redakteur dieser Vereinigung. Was würde ich nicht alles für Dich tun, lieber Seb, und natürlich für die SPAL! Ich hoffe, dass ich meine Rolle gut erfüllt habe, wenn nicht, ziehe mir die Ohren lang. Es tut nicht einmal weh!

  

A little publicity for the SPAL of which I am a member, following the request of Sébastien, our member and editor of this association. What I would not do for you dear Seb, and for the SPAL of course! I hope I have done my part well, otherwise, pull my ears. Not bad at all!

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